• CHAUDIÈRES À FLUIDE THERMIQUE



    Utilisées dans des zones où l'approvisionnement de gaz naturel, de gas-oil ou de fioul est facile.



    Réalisent un chauffage d'une huile thermique dans un circuit fermé.



    Cèdent une chaleur par convection aux machines consommatrices à l'intérieur d'un processus productif.
  • CHAUDIÈRES ÉLECTRIQUES



    Apportent une chaleur au moyen des résistances électriques de très basse densité.



    Un rendement de 100 % de l'énergie exténuée.
  • CHAUDIÈRE À RÉCUPÉRATION



    Utilisées dans des installations de cogénération.



    Mettre à profit la chaleur latente dans les gaz de combustion de moteurs, de turbines, d'incinérateurs, d'oxydateurs thermiques, etc.
  • ÉCHANGEURS DE CHALEUR



    - Vaporisateur: utilisé pour de petite consommation de vapeur dans des installations d'huile thermique.



    - Interaccumulateur eau chaude: un réservoir d'eau chaud sanitaire dans des installations de fluide thermique.



    - Interéchangeur huile - huile: un chauffage d'huiles végétales avec une huile thermique.

Élection du combustible pour vottre processus

Au début de son activité ou pendant cette dernière, une entreprise doit choisir le combustible avec lequel travailler  en ses processus et beaucoup d’autres sont soumises à l'approvisionnement qu'elles ont à disposition.

Les facteurs qui influencent l'élection du combustible varient selon le point de vue depuis lequel ils sont étudiés:
  • La disponibilité dans la zone.
  • L'investissement initial à effectuer:
    • Le prix du brûleur, étant le brûleur mixte le plus cher (apte pour brûler 2 ou plus combustibles), celui de fioul-lourd ; celui de gaz et finalement celui de gazole.
    • Le coût de la ligne d'approvisionnement jusqu'au pied du brûleur, réservoirs nécessaires, moyens de sécurité, etc. ont un coût plus important que celui du brûleur.
  • La consommation prévue dérivé de l'activité : L'élection dans ce cas, peut dépendre des heures de processus et la nécessité calorifique de ce dernier. L'idéal est de faire une comparaison par unité de puissance calorifique par exemple en kcal ou thermia (1000 kcal) nécessaires dans son processus : Le résultat de sa multiplication par le PCI de chaque combustible et par le coût en kg, litre ou en m3 de chacun, vous donnera le coût par thermia et par conséquent, une idée plus claire du combustible à choisir. Dans le tableau suivant, vous pouvez trouver les PCI's des combustibles conventionnels les plus courants:
Type de combustible Pouvoir calorifique

Inférieur Supérieur
Gaz Naturel 9.270 kcal/m3
Gaz liquéfiés de pétrole
Propane commercial
11.082 Kcal/Kg
12.052 Kcal/Kg.
Méthane 5.500 kcal/m3
Butane commercial 10.938 Kcal/Kg 11.867Kcal/Kg.
Gazole type C 10.100 kcal/kg
Biodiésel Il dépend de sa composition
Fioul lourd 9.400 kcal/kg

Comme vous pouvez consulter dans une web sur gaz liquéfiés de pétrole, de manière approximative, 1 Kg de propane équivaut à l'énergie fournie par :
1.24 m ³ de gaz naturel ;
1,20 lt. de fioul lourd ;
3 m ³ de gaz ville ;
1,30 lt. de gazole ;
3 à à 6 Kg de bois de chauffage (donnée générique) ;
14 kWh d'électricité ;
à 2 Kg de charbon.
  • Sur la base des tarifs que vos fournisseurs vous proposent : Avec un calcul approximatif de la consommation vous obtiendrez l'offre de vos fournisseurs de gaz et électricité, dont les prix sont très liés à la zone où vous vous trouvez.
  • Sur la base du maintien : Les brûleurs de combustibles gazeux ont toujours un maintien plus simple que ceux gazole et pardessus ceux de fioul lourd (en étant utilisés ces derniers dans des chaudières et des fours de plus grandes puissances calorifiques), puisque les gaz ont une combustion plus propre.
  • Sur la base de l'environnement : Des entreprises situées dans des noyaux urbains, laboratoires ou autres entreprises de caractère non polluant, elles sont obligées dans beaucoup d'occasions à l'utilisation d'électricité pour éviter des émissions de CO2 à l'atmosphère.
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Comparaison entre fluide thermique et vapeur

Dans des posts précédents nous informions sur les différents fluides transmetteurs de chaleur qu'ils peuvent être utilisés dans une installation industrielle. Dans ce blog nous voulons faire un comparative entre l'utilisation de l'huile thermique et la vapeur, peut-être les deux fluides transmetteurs de chaleur plus étendus mondialement.

Les conditions pour les installations de vapeur sont plus restrictives que ceux de fluide thermique :
  • Une salle spéciale extérieure au lieu de fabrication s'avère nécessaire, laquelle doit posséder des murs de protection épais, ainsi qu’un grand terrain tout autour, sur lequel on ne peut exercer aucune activité.
  • Elles impliquent une décalcification de l'eau, avec le coût de l'entretien en sel qui s'en suit et le risque que de l'eau salée pénètre dans la chaudière quand l’adoucisseur n'agit pas correctement, avec la corrosion des parois du foyer qui en résulte et le raccourcissement du pouvoir de transmission de chaleur, la propre vie de la chaudière est menacée.
  • Elles exigent un traitement du pH de l'eau, pour la prévention de possibles corrosions, oxydations et piqûres des parties en contact avec l'eau.
  • Il est nécessaire d'effectuer un contrôle des sels et des autres corps solides indissolubles qui restent au fond de la chaudière, étant donné que la vapeur, moins pesante, ne les entraîne pas avec elle, ils se concentrent progressivement dans le fond de la chambre à eau, ce qui peut entraîner des situations réellement critiques quand tous ces solides sur le ClNa dépassent 3000 ppm, hypothèse envisageable si l'on ne suit pas un programme de purges adéquat.
  • Normalement, tous les purgeurs qu'il y a dans un réseau de retour de condensés ne fonctionnent pas de façon satisfaisante, ce qui oblige un entretien intensif de ces derniers, avec le coût que cela entraîne en main d’œuvre et matériaux.
  • Il peut y avoir des "entraînements" d'eau quand la chaudière contient trop de corps solides indissolubles, par excès d'alcalinité, ou bien parce qu’à des moments précis du processus de fabrication, il y a des demandes trop élevées auxquelles la chaudière ne peut répondre, dans ces cas le niveau de vapeur est excessivement humide et la transmission de chaleur est défectueuse au point qu’il faille arrêter le processus de fabri­cation. La formation d'oxydes à l'intérieur de la chaudière, se transmettent ensuite aux machines avec les problèmes qui s'en suivent pour le matériel traité avec cette vapeur.
  • Une chaudière à vapeur de type pyro‑tubulaire est soumise à un risque d'explosion. Il est inutile de commenter les conséquences d'un accident de ce type.

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Des aspects importants sur l'ISO 9001

Dans notre article précédent sur comment répercute le client le certificat de qualité ISO 9001 , ensuite nous commentons une série d'aspects que nous étendrons ensuite.

Nous avons observé un important intérêt pour ce sujet et pour ce motif nous approfondirons dans les aspects suivants que nous considérons d'une grande importance dans la norme ISO 9001:
  1. Planification de la production du produit: PIROBLOC planifie et développe les processus nécessaires pour la réalisation du produit. Ces processus déterminent:
    1. Des objectifs de la qualité et les conditions pour le produit.
    2. Les activités requises de vérification, de validation, suivi, mesure, inspection et essais.
    3. Le registre de toutes les activités pour démontrer l'accomplissement de toutes les conditions.
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Comment répercute le client le certificat de qualité ISO 9001 ?

certificat de qualité ISO 9001:2008
PIROBLOC dispose du certificat de qualité et ceci répercute à nos clients avec une satisfaction grâce au système de gestion de la qualité implanté.

Qu'est-ce qu'est l'ISO 9001:2008?
Elle est une norme élaborée par le Comité Technique ISO/TC176 de l'Organisation Internationale pour la Standarisation (ISO), qui spécifie les conditions pour un bon système de gestion de la qualité, lequel il doit tendre à l'obtention d'une amélioration dans la satisfaction du client.
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Aides pour R+D technologique

Appliquer l'innovation à nos processus c’est indispensable pour notre tissu patronal, non seulement comme source de création de nouvelles entreprises avec des produits ou des services singuliers, mais aussi pour s’assurer un certain niveau compétitif sur le marché global existant et dans le secteur del du quell en forment part, à moyen et/ou long terme. Il est principalement essentiel d'apporter de nouvelles idées, créatives et différentiels et d'utiliser les canaux de communication internes et externes à disposition.

Pour supporter les coûts de cette activité, les Administrations Publiques offrent divers programmes d'appui financier, ou directement ou par le biais d'organismes spécifiques, à ceux qui faut présenter indispensablement les documents suivants :
  • Mémoire explicative qui concrétise la nouveauté apportée au marché, n'étant pas admissible comme innovation, la contribution d'un changement à une machine déjà existante.
  • Le projet doit être soumis à un certain risque technologique chiffré (calculé en termes de coûts) : essais de fonctionnement, simulations, etc.
  • Mémoire comptable.
  • La fabrication doit suivre les « règles de l'art ».


Les bureaux des Conseills d'industrie des CC.AA ainsi que les respectives Chambres de Commerce peuvent directement vous informer des différentes possibilités qu'offre l'Administation Centrale à travers du Mº de Ciencia y Tecnología ou l'ICO, avec ses programmes de développement technologique presque toujours compatibles avec les subventions accordées au niveau autonome.

D'autre part, la déduction fiscale de jusqu'à 8% dans l'Impôt sur le chiffre d’affaires est autre mesure dont l'entreprise innovatrice on peut profiter.

Nous vous invitons à visiter le link suivant www.cdti.es ou à appeller au Depto. de Promoción Tecnológica, Tél. +34 91 581 55 18.

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