• CHAUDIÈRES À FLUIDE THERMIQUE



    Utilisées dans des zones où l'approvisionnement de gaz naturel, de gas-oil ou de fioul est facile.



    Réalisent un chauffage d'une huile thermique dans un circuit fermé.



    Cèdent une chaleur par convection aux machines consommatrices à l'intérieur d'un processus productif.
  • CHAUDIÈRES ÉLECTRIQUES



    Apportent une chaleur au moyen des résistances électriques de très basse densité.



    Un rendement de 100 % de l'énergie exténuée.
  • CHAUDIÈRE À RÉCUPÉRATION



    Utilisées dans des installations de cogénération.



    Mettre à profit la chaleur latente dans les gaz de combustion de moteurs, de turbines, d'incinérateurs, d'oxydateurs thermiques, etc.
  • ÉCHANGEURS DE CHALEUR



    - Vaporisateur: utilisé pour de petite consommation de vapeur dans des installations d'huile thermique.



    - Interaccumulateur eau chaude: un réservoir d'eau chaud sanitaire dans des installations de fluide thermique.



    - Interéchangeur huile - huile: un chauffage d'huiles végétales avec une huile thermique.

L'isolement thermique dans une installation d'huile thermique

isolement thermique
La technologie du chauffage par huile thermique a comme caractéristique principale la possibilité de travailler à des hautes températures (180-280ºC), en ne produisant pas des changements de pression comme celles qui arrivent avec la vapeur.

Ceci est du au fait que avec le fluide thermique n'a pas lieu un changement de phase (du liquide au gaz) et au fait de travailler dans un circuit fermé.

Mais, nous voulons aujourd'hui nous centrer sur le type d'isolement thermique spécifique plus recommandé pour isoler les installations de fluide thermique, en existant sur le marché multiples produits pour cela, entre lesquels les laines minérales (laine de roche), les mousses plastiques, produits à base de cellulose, etc., tous avec la caractéristique de base d'éviter la perte de chaleur du fluide caloporteur, pour conserver le rendement et le bon fonctionnement de l'installation, éviter des accidents et coûteuses pertes d'énergie, en évitant une plus grande pollution de l'environnement et un réchauffement de la planète.

Dans notre cas, il est important de tenir compte la température de travail de la plante dans laquelle on effectue l'installation et le diamètre de la tuyauterie employée, en recommandant l'utilisation de :
Coquilles dans des tuyauteries de diamètre petit et moyen, étant donné la disposition concentrique des fibres. Par conséquent, l'épaisseur des coquilles ne devrait pas être inférieure à 60 mm pour la tuyauterie jusqu'à DN-65, en conseillant de 80 mm désormais pour la tuyauterie d'un plus grand diamètre. Dans des diamètres supérieurs et à partir de 200ºC de température de travail, on conseille l'utilisation des couvertures comme la laine de roche.

Pour étendre et concrétiser cette information, vous pouvez consulter la norme UNE9310 qu'il applique en Espagne et qu'il informe des épaisseurs minimales d'isolement en référence aux diamètres et les températures de travail.

Rappellez vous, qu'il n'est pas nécessaire d'isoler les vases d’expansion et récolte dans les installations d'huile thermique.
Rappellez vous aussi que les laines isolantes utilisent des matériaux non inflammables et de pouvoir calorifique minimal, en s'opposant à la propagation des incendies. Si dans une installation, les températures de travail enregistrent des hautes montées, vous devrez choisir des laines de roche de haute densité.

Pour terminer, comme norme habituelle et en ce qui concerne les calculs, on utilise la référence suivante : la température de paroi d'une machine consommatrice de chaleur, de la tuyauterie, des chaudières, etc., ne doit pas dépasser en 30ºC la température ambiante.
N’hésitez pas à nous contacter pour tout renseignement complémentaire. Read More!