• CHAUDIÈRES À FLUIDE THERMIQUE



    Utilisées dans des zones où l'approvisionnement de gaz naturel, de gas-oil ou de fioul est facile.



    Réalisent un chauffage d'une huile thermique dans un circuit fermé.



    Cèdent une chaleur par convection aux machines consommatrices à l'intérieur d'un processus productif.
  • CHAUDIÈRES ÉLECTRIQUES



    Apportent une chaleur au moyen des résistances électriques de très basse densité.



    Un rendement de 100 % de l'énergie exténuée.
  • CHAUDIÈRE À RÉCUPÉRATION



    Utilisées dans des installations de cogénération.



    Mettre à profit la chaleur latente dans les gaz de combustion de moteurs, de turbines, d'incinérateurs, d'oxydateurs thermiques, etc.
  • ÉCHANGEURS DE CHALEUR



    - Vaporisateur: utilisé pour de petite consommation de vapeur dans des installations d'huile thermique.



    - Interaccumulateur eau chaude: un réservoir d'eau chaud sanitaire dans des installations de fluide thermique.



    - Interéchangeur huile - huile: un chauffage d'huiles végétales avec une huile thermique.

BRÛLEURS MODULANTS

Bien qu'il soit certain qu'actuellement beaucoup d'équipements de nouvelle acquisition incorporent ce type de brûleurs (Pirobloc fait la fourniture de série et sans coût additionnel dans toutes ses équipes de gaz), ils existent encore beaucoup d'installations avec des brûleurs à deux étapes ou même, pour de basses puissances, à une étape. 

Chaque processus de fabrication il est différent, mais ce qui est habituel est que le consommateur de chaleur ne demande pas toute la puissance à tout moment et y compris que dans certains cas, la consommation est nulle ou basse. Dans les cas de processus variables et en considérant une régulation optimale, le brûleur s’éteindra. Contrairement à ce qu'il paraît, ceci ne contribue à aucune épargne économique. D'un point de vue d'efficience énergétique quand le brûleur démarre de nouveau, il se produira le correspondant «rinçage à l’air » de la chambre de combustion en produisant un refroidissement inutile de cette dernière. 

Avec un dimensionnement correct et avec la disposition de brûleurs modulants, quand la demande de puissance sera faible, la modulation du brûleur s’adapte à cette basse demande en évitant l’arrêt complet et par conséquent le refroidissement de la chambre de combustion pour de suite, la réchauffer à nouveau. C'est-à-dire, une consommation inutile de combustible.

Au revoir en notre prochain rendez-vous.
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L’economie de combustible

¿LE SAVIEZ VOUS… ?

Qu’un processus de chauffage avec fluide thermique a une consommation de combustible entre 20 et 25% de moins que avec la vapeur.

Bien sûr vous le saviez. Malgré cela, et parce que peut être pas tout le monde le saviez, je ne me lasse de répéter. Dans une époque marquée par le changement climatique et l'épuisement des combustibles fossiles et donc plus coûteux, le choix de la technologie appropriée dans un processus de chauffage, est essentiel non seulement pour la planète, mais aussi pour notre poche.

Il y a encore de nombreuses entreprises et processus qui consomment plus de 20% du combustible nécessaire. Dans une installation de chauffage indirect avec la vapeur, vous obtenez un rendement de 65 - 70%, c'est à dire, pertes de plus du 30% de l'énergie, de carburant et €. Le tiers de ces pertes vont vers la cheminée. La récupération d'énergie dans les gaz de combustion doit se developper fortement à l'avenir. Mais cela et nous le ferons. Le drame c’est l’autre 20% de consommation totale. Les condensats et les purgeurs sont incapables de gérer dans la pratique à obtenir la pleine utilisation du combustible brûlé.

Les bonnes nouvelles sont que cette même processus chauffée avec huile thermique aura un rendement, aussi global, du 90%. Le 10% manquant est partie vers la cheminée. Et c'est tout. Il n'y a pas de changement de phase, pas de récupération de condensat, pas de purgeurs. Il y a seulement un circuit fermé. Read More!

L'isolement thermique dans une installation d'huile thermique

isolement thermique
La technologie du chauffage par huile thermique a comme caractéristique principale la possibilité de travailler à des hautes températures (180-280ºC), en ne produisant pas des changements de pression comme celles qui arrivent avec la vapeur.

Ceci est du au fait que avec le fluide thermique n'a pas lieu un changement de phase (du liquide au gaz) et au fait de travailler dans un circuit fermé.

Mais, nous voulons aujourd'hui nous centrer sur le type d'isolement thermique spécifique plus recommandé pour isoler les installations de fluide thermique, en existant sur le marché multiples produits pour cela, entre lesquels les laines minérales (laine de roche), les mousses plastiques, produits à base de cellulose, etc., tous avec la caractéristique de base d'éviter la perte de chaleur du fluide caloporteur, pour conserver le rendement et le bon fonctionnement de l'installation, éviter des accidents et coûteuses pertes d'énergie, en évitant une plus grande pollution de l'environnement et un réchauffement de la planète.

Dans notre cas, il est important de tenir compte la température de travail de la plante dans laquelle on effectue l'installation et le diamètre de la tuyauterie employée, en recommandant l'utilisation de :
Coquilles dans des tuyauteries de diamètre petit et moyen, étant donné la disposition concentrique des fibres. Par conséquent, l'épaisseur des coquilles ne devrait pas être inférieure à 60 mm pour la tuyauterie jusqu'à DN-65, en conseillant de 80 mm désormais pour la tuyauterie d'un plus grand diamètre. Dans des diamètres supérieurs et à partir de 200ºC de température de travail, on conseille l'utilisation des couvertures comme la laine de roche.

Pour étendre et concrétiser cette information, vous pouvez consulter la norme UNE9310 qu'il applique en Espagne et qu'il informe des épaisseurs minimales d'isolement en référence aux diamètres et les températures de travail.

Rappellez vous, qu'il n'est pas nécessaire d'isoler les vases d’expansion et récolte dans les installations d'huile thermique.
Rappellez vous aussi que les laines isolantes utilisent des matériaux non inflammables et de pouvoir calorifique minimal, en s'opposant à la propagation des incendies. Si dans une installation, les températures de travail enregistrent des hautes montées, vous devrez choisir des laines de roche de haute densité.

Pour terminer, comme norme habituelle et en ce qui concerne les calculs, on utilise la référence suivante : la température de paroi d'une machine consommatrice de chaleur, de la tuyauterie, des chaudières, etc., ne doit pas dépasser en 30ºC la température ambiante.
N’hésitez pas à nous contacter pour tout renseignement complémentaire. Read More!

Chaudière fluide thermique: le meilleur placement

Dans l'article d'aujourd'hui nous voulons vous donner quelques conseils à tenir en ompte au moment de la constitution, de la construction éventuelle et de la mise en route d’une nouvelle ligne de production ou d'une nouvelle plante, lesquels peuvent aboutir une manière plus efficace et rationnelle de faire la mise en place de vos moyens de production, comme la chaudière de fluide thermique :

  • Dans le cas d'une nouvelle plante industrielle dans laquelle le toit n'a pas été placé encore et la chaudière est d'importantes dimensions, l’industriel profite normalement de la non-existence du toit pour l’entrer. Nous conseillons de tenir compte d'une ouverture des dimensions de la chaudière pour de possibles réparations futures ou même pour le moment de leur démantèlement, en évitant devoir démonter une partie du toit dans le futur.
  • Au moment de sa mise en place définitive et en s'agissant d'une chaudière d'huile thermique, celle-ci on peut la placer près du consommateur et/ou du secteur de travail du personnel en charge de son maintien et surveillance. Cette action vous faira économiser quant à des matériels d'installation et quant au temps employé par votre personnel dans le contrôle de cette dernière.
  • Nous vous rappellons que nous possédons des chaudières avec conception verticale et horizontale pour sauver toute difficulté d'espace avec laquelle vous pouvez vous trouver.
  • Par rapport au combustible à disposition à employer avec le brûleur de la chaudière, nous vous rappellons que :
    • En cas d'utilisation de gaz naturel, vous devrez éviter les rez de chaussées ou bas-étages, puisque vous éviterez l’obligation d'installation d'une ventilation forcée pour faciliter la combustion de du brûleur.
    • En cas d'utilisation de gas-oil ou fuel-oil, vous aurez besoin au moins d'un réservoir d'accumulation de ces combustibles, et ce pourquoi on vous conseille de placer la chaudière tout au plus près du réservoir principal. Comme ça, vous aurez la possibilité d'éviter l'installation d'un réservoir nourrice ou intermédiaire.
  • Par rapport aux éléments nécessaires pour le bon fonctionnement d'un circuit d'huile thermique, vous devrez tenir compte d'un vase d'expansion et d'un de récolte de certaines dimensions.
  • Par rapport à la cheminée, nous vous rappellons que celle-là doit ressortir une certaine longueur au-dessus des bâtiments environnants dans un rayon de 10 mètres en ce qui concerne l'axe de la cheminée.

Nous restons à votre disposition pour répondre vos questions et commentaries. Read More!

Les sujets publiés plus intéressants

Il y a trois années, nous publions le premier article dans notre blog.

Passé ce temps, nous avons constaté que quelques sujets ont suscité davantage d'intérêt que d'autres et c'est pourquoi nous vous faisons un rappel des plus lus, ensuite:
Le jour à jour et le peu de temps à disposition, ils font que nos lecteurs reçoivent par RSS les nouvelles publications effectuées, étant faibles les commentaires reçus.

Grâce à vos commentaires nous pourrions savoir quelle information vous intéresse plus de chaque sujet et ainsi la développer ou vous répondre parallèlement.

Nous vous invitons à commenter et en tout cas, nous vous promettons de répondre toujours.

Bonne année à tous ! ! Read More!